Saturday, May 21, 2011

j...r

Je ne m’y connais pas. Tu vois ? Je voulais t’écrire des choses peu communes mais je n’y arrive pas. Je croyais avoir du talent mais j’avais tort. Je sais ce que je sens, quand même et cela ne changera guère. Je te laisserai partir, peu à peu, de mon esprit. Je te libérerai, doux fantôme et je n’essaierai d’emporter que les souvenirs. Les souvenirs de notre enfance d’amour. Les princes, les princesses, les bergers et les bergères et toute l’atmosphère gothique et romantique qui va avec. C’est peu romantique, je sais, mais a l’époque de l’iphone je crois que plus que ca va être difficile d’en trouver. Je te garde et je te libère. Tu m’as donné à moi-même. Quand je serai morte, ils trouveront sans doute ton visage sur mon cœur.